~ Identité ~
♪ Nom : Amylia
♪ Prénom :Framboise
♪ Âge :17 ans
♪ Nationalité : Anglaise
♪ Avez-vous lu
les règles ? Sushiiiii !
~ Caractéristiques physiques ~
♪ Physique : Framboise , de par son physique, donne souvent une impression fausse de celle qu'elle est. Elle a souvent une moue boudeuse, un visage peu expressif. S'habillant de façon plutôt excentrique, elle est assez remarquable pour cela. Son visage est très fin, très féminin. Ses prunelles sont noires, bien que les gens aient quelque fois l'impression d'y voir une once de couleur rose/rouge, et ils paraissent plutôt vides de toute humanité. Elle est très fine physiquement, un peu trop d'ailleurs, ce qui permet de voir ses os saillants, car bien que ses habits fassent excentriques, ils sont aussi relativement courts et révèlent une grande partie de son anatomie.
~ Personnalité ~
♪ Psychologie : Son physique cache cela, mais Framboise est une personne qui croque la vie à pleine dents. Cela ne se voit que peu, car elle est très réveuse, et perdue dans son monde. Ainsi, elle parait « éteinte », mais tout vibre en elle, tout s'éveille sous les sens. Elle est mélomane, rythmant sa vie à l'aide de la musique. Ainsi, triste ou joyeuse, elle le devient selon ce qu'elle écoute. Elle est très sensible à ce genre de choses . Ne croyez cependant pas qu'elle soit associale, loin de là. Elle aime bien la compagnie des autres... en petite quantité. Somme toute, c'est où elle veut, quand elle veut, mais ne tentez pas d'approche si elle vous a remballé une fois déjà. Elle est lunatique, mais toutefois très gentille, bien que colérique.
~ Informations Personnelles ~
♪ Histoire : Framboise n'a pas une vie particulièrement remarquable... En fait, elle n'a rien de remarquable, si ce n'est sa naissance. Sa mère n'était qu'une vulgaire femme de ménage, d'après la famille Angelston, qui l'avait employée, et recevait par moment les « faveurs » du maître de famille. Lucie, la maîtresse de famille voyait cela d'un très mauvais oeil, mais gardait sa place et se taisait pendant que Ben lui faisait ses infidélités. Seulement voilà, c'était à attendre, June tomba enceinte, et fut donc expulsée - elle devait subir les humeurs du maître, mais en plus décider de ne pas tomber enceinte, quelle ironie.
Elle haïssait le bébé dans son corps, symbole de sa ruine, et n'hésita pas une seule seconde avant de la déposer à l'orphelinat dans un carton. June n'eut pas plus de nouvelle de son enfant que cette dernière n'en eut d'elle, car elle se laissa dépérir et mourir de faim.
Framboise hérita donc d'un nom donné par la nurse de l'orphelinat, d'après le carton dans lequel elle fut trouvé, qui notait « Amylia », une marque quelconque. Framboise fut choisi d'après les origines françaises de la nurse. On ne peut pas dire que Framboise fut particulièrement aimée à l'orphelinat, ni même qu'elle fut appréciée, mais elle y trouva tout de même sa place, étant une enfant brillante. Ainsi, elle se révéla dans le dessin, et dans la musique.
L'orphelinat n'était pas très riche, mais il avait pu acheter des instruments d'occasion, et tout enfant apprenait la musique. En effet, la politique de l'établissement était d'instruire chaque enfant afin de lui permettre de s'en sortir plus tard.
Framboise apprit très vite, et tout le monde l'appréciait(ndlr : dans le sens de la considérer comme quelque chose, pas celui d'une affection quelconque) comme étant une autodidacte.
Elle fut donc instruite à l'école la plus proche, n'utilisant que des manuels d'occasion. Il fut cependant vite remarquable qu'elle s'ennuyait, sans doute à cause de la différence qui se creusait entre elle et les autres orphelins, certains la considérant comme la maman qu'ils n'avaient jamais eu, et d'autres comme la lèche botte qui voulait obtenir des avantages de la part des directrices de l'orphelinat - ce qu'elle avait eu, mais sans jamais quemander quoi que ce soit, ni même penser le vouloir.
C'est ainsi que fut prise la décision, en entendant parler d'un étrange lieu, le Manoir Berry, de l'envoyer là bas, pour qu'elle s'épanouisse d'une façon plus bénéfique qu'elle ne le faisait actuellement.
Ce fut un coup dur pour Framboise, qui était maintenant très proches de certains des orphelins, mais elle encaissa, promettant des cadeaux, des lettres et des visites fréquents (- accord avec cadeaux, hein ? tout sera fréquent, pas uniquement les visites -).
♪ Secret : Elle a une étrange capacité à évaluer les émotions, les humeurs, des gens, sans le maîtriser. Capacité qui l'intrigue, mais qu'elle accepte, et dont elle n'a jamais parlé.
~ Exemple de post ~
Jude, en tant qu’exemplaire préfet en chef, connaissait une grande partie
des passages secrets du château, notamment ceux qui étaient utilises aux élèves et pouvaient donc lui permettre de faire du zèle dans sa tâche, et de se démarquer comme un excellent préfet en chef – aucun doute qu’il serait sans doute récompensé pour ses excellents services à l’égard de l’école. Ce soir là, il ne faisait pas d’exception à la règle : il faisait sa ronde, et vérifiait les passages secrets quand il passait à proximité. Il était
certes un peu tôt, car le couvre feu n’était que dans une demi heure,
mais cela lui permettait de vérifier les lieux interdits d’accès aux
élèves, comme la cuisine par exemple. Il sut qu’il avait bien fait de
se rendre dans le coin, pour deux raisons. Premièrement, friand de la
nourriture comme il était, il savait qu’il reviendrait avec un peu de
celle-ci. En second, il y avait là une occasion d’embêter sa sœur : il
avait reconnu ses cheveux roses, lisses et longs passant à travers le tableau. Bien sur, ça n’était pas gentil, mais c’était au fond
très affectueux. Car même s’il en voyait de toutes les couleurs avec
elle – et inversement – il avait développé une grande affection pour
elle, même s’il se le cachait et ne voulait en aucun cas le
reconnaître, si bien que personne – pas même lui ou alors très loin au
fond de lui – n’était au courant du rôle de protecteur qu’il
s’infligeait à l’encontre de cette petite sœur enquiquinante.
Alors qu’il effectuait le même geste que sa sœur avec la poire quelques
secondes plutôt, il fit un sourire malicieux, et dit à haute voix.
« Je voudrais bien des profiteroles, et un chocolat chaud, pour ma part, s’il vous plait. »
Il n’eut ni plus ni moins des réponses rapides - et un service très rapide
aussi – des petits elfes de maison si affectueux qui travaillaient ici.
« Bien monsieur. »
« Tout de suite, monsieur. »
« Autre chose, monsieur ? »
« Quelque chose à emporter, monsieur ? »
Il rit franchement, et répondit par un « non merci » qui se valait amical,
et non offensant pour ces adorables petits êtres qui faisaient beaucoup
trop de zèle dans leur travail. Il prit place sur un rebord de pierre
dans la cuisine, s’asseyant ainsi face à sa sœur. Il souriait un peu
ironiquement, car il savait pertinemment qu’il pourrait lui causer des
ennuis, s’il le voulait, ce qui signifiait aussi qu’elle ferait mieux
de ne pas trop la ramener – les parents lui pardonnaient beaucoup de
chose, mais ils avaient sans doute leurs limites, et Jude savaient
parfaitement où elles s’arrêtaient. Il fut cependant un peu plus
mécontent quand elle sortit une cigarette : il ne pouvait pas
cautionner ça, surtout pas dans les cuisines. Certes, il fumait,
régulièrement même, et dans l’enceinte de l’école, mais il n’était pas
beaucoup plus tolérant quand à ça. Il saisit ni une ni moins le paquet
et la cigarette des mains de sa sœur, les rangeant tous deux dans son
sac qui, il fallait le dire, était vide.
« Tu vas te détruire la santé avec ça, petite sœur… Et puis, que dirait le
père, s’il savait ça ? Tu vas devenir encore plus accro, et tu sais
bien que les parents seraient fâchés de savoir que leur fille prodige
fricote avec ce genre de choses…
Tu ne voudrais pas cela, tout de même ? »
Il y avait un sourire narquois sur le visage de son frère, car il savait
qu’il allait faire d’une pierre deux coups : sa sœur ne pourrait pas le
contredire, car elle savait sans doute qu’il pouvait mettre ses menaces
à exécution, et elle serait certainement énervée, car elle savait
pertinemment qu’il aurait l’usage de ce poison dangereusement délicieux
– après tout, c’était elle qui le lui fournissait habituellement.
« Il serait aussi bête que tu sois expulsée de l’école, pour détention de
choses illicites… Imagine ton avenir ainsi coupé court, et la déception
de tes chers et tendres parents, si tu te vois finir comme balayeuse
dans une maison moldue ? »
Il savait bien que cela était quasiment impossible : elle serait tout au plus exclue quelques jours, et pourrait toujours compter sur ses parents à l’avenir pour lui fournir un travail digne de ce nom, mais il était tentant de faire en sorte qu’elle se ronge les sangs. C’était certes méchant, mais ils
n’étaient pas non plus très tendres l’un envers l’autre, et finissaient
toujours par se rendre coup pour coup leurs méchancetés. Une sorte de
vengeance perpétuelle, en fait… Il fallait dire que Lucie, avec son
caractère très revanchard, ne laissait passer aucune bassesse, même
venant de son propre grand frère. Ceci dit, peut être était il apprécié
et admiré par elle, même en minime quantité, au fond.
« Que pourrais je te donner, pour infraction au règlement de l’école en étant pénétrée dans l’enceinte de la cuisine, dont l’accès est officiellement réservé aux elfes ? »